Une fin de mandat déshonorante pour président Préval

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Président préval a choisi de diriger le pays pour les étranger, pour lui-même et pour ses acolytes.

Il négocie tout ce qui reste de la souveraineté du pays au lieu de composer avec les fils et les filles authentiques de la patrie.

Il entérine l'exclusion de la majorité du peuple haitien perpétrée par les puissances occidentales depuis le l'exil forcé du l'ex-président Aristide.

Tout cela pour se maintenir au pouvoir à travers des politiciens fossoyeurs de la nation.

Mais, il ne s'est pas souvenu du vieux proverbe créole disant:"granmèsi chyen se kout baton".

Maintenant il est en train de tomber dans son propre piège.

Qui aurait dit que le parti Fanmi Lavalas serait écarté des élections organisées en Haïti en deux occasions pour aucune raison valable sous le gouvernement de Préval?

Qui aurait dit qu'Aristide serait encore en exil à la fin du mandat de Préval?

Qui aurait dit que Préval ne donnerait pas à Aristide un passeport pour lui permettre de rentrer dans son pays?

Eh bien c'est ça la réalité.

Haïti doit être aux haïtiens.

Si les étrangers nous encouragent à faire ce qu'il ne feront jamais dans leurs pays c'est pour nous maintenir dans l'état ou nous sommes.

C'est faux qu'ils va aider le pays à se développer.

Cela ne fera pas leur affaire, car la grandeur de ces pays dépend de la pauvreté et de l'instabilité des pays pays du tiers-Monde.

"Si nou kwè mwen manti, vini obsève sa entelektiel ki soti nan ti peyi yo devni nan peyi blan USA, Canada, Lafrans, etc."

Tijas, January 29 2011, 9:22 AM

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