crimes contre l'humanitÉ par jean-bertrand aristide

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Message:

MÉMORANDUM SUR LES CRIMES CONTRE
L'HUMANITÉ PAR JEAN-BERTRAND ARISTIDE
PRÉSIDENT DEFACTO DE LA RÉPUBLIQUE D'HAITI

1.- Tribunal Pénal International
Att:Greffe de l'Instruction
La Haye - Pays-Bas
2.-Haut Commissariat aux Droits de l'Homme
Att: Rapporteur Spécial /Bureau du Haut Commissaire
& Représentant du Sécrétaire Géneral des Nations Unies
3.-Organisation Mondiale contre la Torture
Att;M.Éric Sottas
4.-Congrès Mondial Africain/Regards Africains - Genève-Suisse
5.-Comité International de la Croix-Couge (CICR)

OBJET: DEMANDE URGENTE D'INTERVENTION DE LA
COMMUNAUTE INTERNATIONALE

La Plate Forme de l''Opposition a annoncé,à partir de ce mercredi 7 Janvier 2004, toute une une série d'initiatives pacifiques, pour clamer haut et fort le rejet des populations haitiennes du pouvoir dictatorial
de M.Jean-Bertrand Aristide.

Les menaces du pouvoir sont claires et sans équivoque: toutes manifestations, sous quelque forme que ce soit sont des actes '' d'hostilité'' innaceptables contre le pouvoir, assimilé à une tentative de '' putch populaire, donc à une déclaration de '' guerre ''à laquelle les partisans du Président Jean- Bertrand Aristide se sont autorisés à donner la réplique par tous les moyens, y compris l'utilisation des armes lourdes, les représailles de toute nature.

Le pouvoir s'est résevé les droits et prérogatives d'y souscrire par la voix de M. Mario Dupuy, Secrétaire d'État à la Communication et porte-parole du Gouvernement.

..Il a bien averti que la Police aurait des ordres précis d'agir avec l'extrême rigueur à l'encontre des fauteurs de troubles.

Il justifie ces prédispositions par le souci du gouvernement de ne pas lâcher prise
aux anarchistes et aux casseurs chimériques, se croyant au-dessus des lois de la République.:Ce, avant que la situation n'échappe au controle du Président qui ne se démettra sous les pressions, ont déclaré d'autres officiels et supporters offficiels du gouvenement, outre M. Mario Dupuy, Porte Parole et grand apologiste des crimes dénoncés ci-après.

La morale nous retient de les publier tous par respect pour la diginté humaine.Les moins ignominieux seraient des têtes coupées placées sur des tas de détritus puants et ornés de tracts, appelant aux violences physiques contre des opposants au régime et destruction de biens matériels et établissements commerciaux et industriels de ces derniers.

Ou encore le cadavre de cette fille, à l'age de puberté abbatue, les seins tranchés près de ses lèvres ensanglantées, dans uns endroit public très passant: une expédition punitive pour avoir participé, la veille, à des manifestations anti-gouvernmentales.

A Petit-Goave, une famille entière a été sexuellement agressée de nuit: la mére et ses trois filles violées dont la plus jeune a 14 ans, sous le regard de leurs fils et un jeune frère de 8 ans, par 6 policiers en uniforme, à visages découverts, en toute impunité et dans l'indifférences de leur chef hiérarchique, auprès duquel, les victimes ont porté plainte le lendemain.

La réponse était sans équivoque:

Ce sont les motivativations et justifications de ces dénonciations, en prélude, à une dénonciation en bonne et due forme, pour une inculpation, par les '' PROCEDURES D'URGENCES''de M.Jean -Bertrand Aristide, Président en Exercice, par le Procureur du Tribunal Pénal International.

Ses Responsabilités étant engagées comme telles, de même que celles de son gouvernmenet, en vertus des considérations et principes généraux et statutaires de la Cour Criminelle Internationale, de la Cour
Pénale Internationale.

Toutes initiative du Haut Commissariat aux Droits de l'Homme ou des instances subsidiaires, ne contredit pas et n'altère pas les Procédures futures, en cours, de Mise en Accusation des Régimes des Présidents Jean-Bertrand Aristide 1991 -1995 & 2001 - 1003,de René Préval (1995-
2001),de leur Gouvernement, des Responsables des Applications des Lois, de Hauts Cadres de l'Adminstration Pubique, des Instances de Gestion, de Contrôle des Grands Pouvoirs, La Cour de Cassation, la Cour d'Appel, la Direction Générale et le Conseil Supérieur, la Cour Supérieure des Comptes, la BRH, les parlementaires ayant couvert et cautionné activemnt et passivement toutes les violations ici dénoncées

Le peuple haitien demande justice et souhaiterait informer la Communauté Internationale que la réconciliation de la nation haitienne avec elle-même passe par la justice et l'Eradiction de l'IMPUNITE comme Système de Gouvernnement et les Tortures comme: INSTRUMENTS DE L'EXERCICE DU POUVOIR en Haiti, depuis deux siècles (de 1804 à 2004 )

Tous les dossiers devant être ouverts ou rouverts..A ceux qui ont perdu les siens (un frère, une soeur, une mère.des amis ou voisins),le gouvernement de transition a pour devoir premier et primordial de leur offrir l'Unique Opportunité Historique de demander des explications aux bourreaux et leur éviter l'horreur de réclamer des comptes et de crier vengeance.

>.

'' IL Y AURA UNE JUSTICE, CETTE FOIS POUR TOUS, POUR LES LAVALASSIENS ET POUR L'OPPOSITION ''

Seulement, il fallait avoir le courage de ne pas se faire les complices des criminels, d'affranchir de couleurs et de toutes les opinions politiques et idéologiques.pour ne pas se laisser aller au découragement.

Nous irons jusqu'au bout de nos démarches et rien ne doit, ne peut nous arrêter dans la quête d'atteindre les objectifs de trainer devant le Tribunal Pénal International les gouvernements de Aristide-Préval, les apologistes lavalassiens, les parlementaires, Membres de Gouvernement, les Responsables des Applications des Lois (Policiers ou Magistrats), coupables, auteurs intellectuels, exécutants et complices des crimes, assassinats, tortures, traitements inhumains et dégradants, à l'égard du genre humain dont les mutilations des cadavres, à des fins de dissuasion pour terrosiser l'opposition, l'équivalent de tortures psychologiques) ou pour manipulations et surenchères politiques(comme ce fut les cas)entre le 30 Septembre 1991 et le 13 Octobre 1994.

Tous les auteurs, complices ont, au même degré, commis des'' Crimes contre l'Humanité '': les coupables doivent donc s'attendre à être cités comme '' Criminels'' et punis comme tels.:fussent-ils, Ministres, parlementaires, Présidents de la République, Premiers Ministres, cadres de
la police ou agents de l'ordre, sympaisants ou militants, doubles nationaux ou résidents à l'extérieur.

Les premières mesures de coercition, à leur encontre, ne seront pas des dispositions anticonstitutionnaelles ni des violations des Conventions et Accords Internationmaux auxquels a adhéré la République d'Haiti ou ont été ratifiés par Elle, et se limiteraient aux seules dérogations permises, san porter atteinte aux droits, au respect de la vie, du plein exercice des libertés individuelles, collectives du respect et de la protection des droits humains.

Les Membres de la Cour Supérieure des Comptes, de la Cour de Cassation, les Parlementaires, les Cadres Supérieurs et Intermédiares de la Police Nationale, le Gouverneur de la BRH et Staff, le Directeur Général de la BNC, le Conseil d'Administration, les Directeurs Généraux des Administrations Publiques, aussi le Directeur Général de APENA, Monsieur Clifford Larose ou des Administrations Autonomes, à compter de la démission du Président Jean - Bertrand Aristide devront être interdits de départ, après la

chute du régime lavalassien et doivent se mettre volontairement, ou par citation, à la disposition de la justice nationale ou du Tribunal Pénal International.

La Résolution de 31 décembre 2003 leur reconnait tous les droits de citoyens haitiens, selon les prescriptions du Protocole International Relatatif aux Droits Civils et Politiques, les Protocloes Additionnels.

Tous les accusés seront traités, tous.sur un pied d'égalité, devant la justice qui se voudrait juste et impartiale.

Les garanties, en maitière des droits humains et des libertés fondamentales seront celles souscrites par les Conventions sus-mentionnées, à condition de ne pas l'avoir violé et de n'avoir pas commis de crimes politiques et, pour les responsables des applications des lois, de n'être pas justifiables'' pour avoir commis des crimes contre '' l'Humanité définis comme tels dans les Conventions de Genève''.

La liste des accusés est déjà longue, aussi celle des victimes.

Elles ne sont pas exhaustives
Encore MARIO DUPUY, LE PERE YVON MASSAC, RENE CIVIL, PAUL REYMOND, et d'autres membres actifs des bandes armées, proches du pouvoir, menacent publiquement de mettre le pays à feu et à sang.
S'estimant n'avoir pas assez tué, assassiné, massacré, torturé, sacrfié en offrandes au sur l'autel dans le péristyl(ou temple vaudou) de Tabarre de nouveaux-nés et jeunes enfants pour pour péréniser le pouvoir aristidien, en envoûtant, par ces pratiques maléfiques et superstitieuses.

le peuple haitien.

L'heure a sonné pour les accusés de s'expliquer.

Le voile est levé sur des crimes parmi les plus crapuleux, impliquant directement et engageant les responsabilités pénales, pour '' crimes contre l'humanité'' du Président Jean - Bertrand dans le cadre de la Convention de Rome, instituant la Cour Pénale Internationale, ayant la Compétence Universelle d'instruire, d'entendre et de juger de tels crimes, en citant à la barre, tous accusés, y compris des Chefs d'Etat
et Membres de Gouvernement, en fonction ou pas, au moment de la dénonciation de ces crimes au Procureur du Tribunal International, à la Haye.
Etre réfugié ou exilé sur le territoire de tout Eta non signataire ou ne reconnaissant les compétences de la Cour Pénale Internationale, à l'encontre de ses citoyens n'ecluent pas les obligations d''' ENTRAIDE JUD-ICIAIRE INTERNATIONALE et de COOPERATION ''dans l'éxécution des Mandats de comparution, d'arrestation et de détention provisoire, pour le compte du Tribunal Pénal international, décerné à l'encontre de tout accusé, qu'il soit étranger ou son ressortissant.

Les complices directs ou indirects, comme témoins silencieux, auteurs, indicateurs, gestionnaires des lieux et places de détentions licites, illicites, légales ou illégales, utilisés comme centre de tortures,
de mauvais traitements inhumains et dégradants, doivent répondre des mêmes crimes.

Il en est de même de celles et ceux, manipulant les victimes (des personnes décédées), à des fins de manipulation, de dissuasion politique: des pratiques caractérisées comme des '' actes dégradants pour le genre humain'',donc assimilées à un '' crime contre l'humanité''.

Parmi les crimes imputés au gouvenment lavalas, impliqunant et engageant directement les responsabilités pénales, devant le TPI, du Chef de l'Etat haitien, M.Jean - Bertrand ARISTIDE et les exécutants directs ou directs :

I CAS No.1

A.- Assassinat de Me. Mireille Durocher BERTIN
B..-Donneur d'ordre :Président Jean- Bertrand Aristide
C.-Exécutants: Sénateur Fourel Célestin et Député Omar Julien
D.- Témoins à charge :
1.- Dany Toussaint
2.-Smarth Michel
3.-Robert Manue
4.-Mario Andrésoll

II CAS No2
A.- Assassinat du Pasteur

Leroy
B.- Donneurs d'ordre :1.-Président Jean - Bertrand Aristide,
2.-ex-Président René Préval
C.- Exécutants :
1.-Député Rommage Milien
2.-ex-Capitaine Roudolphe Joisil
D.- Témoins à charge:
1.-Mario Andrésol
2.-Jean Auguste Brutus
3.-Pierre Denizé
4.-Robert Manuel
5.-Aramick Louis
6.-Eucher Louis Joseph
7.- Major Dany Tpoussain
8.- Anthony Charlier

III.CAS No 3

A. Assassinat de Eddy Abouet
B.-Donneur d'ordre: Président Jean - Bertrand Aristide
C..-Exécutants 1.-Saint - Goudet(ainsi connu);2.-Aramik Louis;
3.-Jacques Ader;
4.-Robert Manuel;
D.-Témoins à charge
1.-Pierre Dénizé.

2.-Clarel Alexandre
3.-Aramick Louis
4.-Jean Auguste Brutus
5.-Anthony Cleavens
6.-Sénateur Fourel Célestin

IV.CAS No.4

A.-Assassinat du Sénateur Yvon Toussaint
B.-Donneurs d'ordre :Président Jean - Bertrand Aristide
ex-Président René Préval
C.-Exécutants: 1.-Guy Philippe;
2.-Mario Andrésol;
3.-Annette Augustin ( dite Sô Anne)
4.-Ronald Camille.

(plus tard empoisonné par injection
de produits mortels, pendant sa détention illégale et
arbitraire, en violation avec le Protocole International
aux Droits Civils et Politiques) par son empoisonne-
ment par inoculation mortelle, le Droit Humanitaire
International, qualitif de '' Crimes contre l'Humanité''.

D.-Témoins à charge :
1.-Mario Andrésol
2.-Eucher Luc Joseph
3.-Aramic Louis
4.-Guy Philippe
5.-Robert Manuel ( Secrétaire d'Etat à la Sécurité)
Publique, au monent du crime).

6.-Pierre Denizé.

7.-Jean Auguste Brutus, Procureur de Port-au-Prince
8.-Dr.Gessy C.Coicou, dir. Police Scientifique, Technique

V.- Cas No 5

A.- Assassinats de Jean Dominique
B.- Donneur d'ordre :Président Jean - Bertrand Aristide
C.- Exécutants et/ou Témoins à Charge
1.- Ex-Président René Préval
2.- Ex-Premier Ministre Jacques Edouard Alexis
3.- Major Dany Toussaint
4.-.Chacha (ainsi connu )
5.-Kino(ainsi connu)
D.-Témoins à charges
1.- Mario Andrésol
2.- Pierre Denizé
3.- Eucher Luc Joseph

VI .- Cas No.6.

A.-Enlèvement de Nouveau-Né/Sacrifices Diaboliques
B.-Donneur d'Ordre: Président Jean -Bertrand Aristide
C.- Exécutant :Félix Bien-Aimé,gardien du Cimetière
Extérieur de la Ville de Port-au-Prince, liquididé
par la suite, sur les ordres formelle du Président
Jean - Bertrand Aristide, comme tmoin gênant).

C.1. Dr Marie Antoinnette Gauthier, alors administartaeur
de l'Hopital de l'Université d'Etat d'Haiti(HUEH),aujour-
d'hui, Déléguée( Préfet ) de la Ville de Poprt-au-Prince.

C.2.-Mme.Annette Augustin (Sô Anne, ainsi connue, cheffe
de file (prètresse principale au temple de vaudou privé
du Président Jean-Bertrand Aristide,érigé dans son ranch,
à Tabarre ) :elles ont été (C1 & C2 )les coordonnatrices
et cet enlèvement et agentes d'éxécution de la liquidation
de M.Félix Bien-Aimé,témoin gênent pour les suites
judiciaires éventuelles ou des implaications politiques
nationales, diplomatues,au niveua des instances
internationales des droits humaons et de l'Enfant.

C.3. Le témoin, possédant tous les détails de cet enlèvement,
est M. Johnny Auxilius de même les détails de la cérémo-
nie vaudouesque au cours de laquelle cet enfant(nouveau-né)
aurait été sacrifié,dans la résidence privée du Président Jean-
Bertrand Aristide ainsi que la liste complète des participants, y
compris des officiels du Gouvernement dont des Ministres et
Parlementaires.

Toute instance internationale pourrait être mis en contact, sur
demande avec le témoin à charge, sus-indiqué ou recevoir une
copie d'enregistrement de ses déclarations.L'on pourrait contac-
ter sur l'e-mail :haititpinternational at yahoo.fr

VII.- Cas No .7

A.-Assasinat de Amyot Métayer dit cubain, leader OP de la
Ville des Gonaives
B.-Donneurs d'Ordre: 1.-Président Jean - Bertrand Aristide
2.-M.Yvon Neptune, Premier Ministr
C.Exécutants ;
1.-Odonel Paul
2.-Sénateur Frantz Médard
3.-Jean - Claude Jean - Baptiste, Conseiller Spécial
de Président à la Sécurité Intérieure(Service de rpépression politique,
de répréssion, tortutes et assassinats politiques, commnadés par le
pouvoir Lavalas
4.-Mario Dupuy, Sécrétaire d'Etat à la Communication,
5.-Jocelerme Privert, Minstre de l'ntérieur et des Collectivités Publiques
6.-Me.Calixte Délatour, Ministre de la Justice
7.-Gérard Dubreuil, Sécrétaire d'Etat à la Sécuroté Publique

VIII.- Cas No.8
A.- Assassinat Colonel Jean Lamy
B.-Donneurs d'Ordre: 1.-Président Jean Bertrand Aristide
2.-ex-Président René Préval
C.-Exécutants/ Témoins à charge :
1.-Mario Andrésol
2.-Eucher Luc Joseph
3.-Pierre Denizé
4.-Jacques Edouard Alexis

IX.-Cas No.9
A.-Donneur d'ordre :Président Jean - Bertrand Aristide
B.- Violences contre les Etudiants le Corps Enseignant
C.-Destruction de matériels et instruments de travail dont
les orrdinateurs, les lbibliothèques.

D.-Mauvais traitements et tortures des Vice-Recteurs et Recteur.

Ce dernier a eu les deux jambes rompues, batuus aux barres de fer
par les milices politiques du pouvoir, lesquels ont été publiquement
félicités par le Président JEan-Bertarnd Aristide lui-même.
E.-Détentions arbitraires et disparutions d'une cinquantaine d'étudiants.

Aucune information du pouvoir, malgré les protestations des organi-
sations des droits humains.

Le pouvoir refuse toutes visites et
inspections des centres de détention, même aux parents de certains
détenus, au sujet desquels circulesnt des rumeurs de décès, suite à
des décès, ou des liquidations, par exécutions sommaires, de nuit.
F.-Empoisonnement d'etudiant par inoculations forcées et les menot-
tées.Pour preuve, un rescapé(voir photo jointe)est évacué d'urgence,
vers Miami (USA),pour y suivre des soins :Pour toute inormation ;
Dr.Grégoire Eugène JR, Président du Parti Social Chrétien d'Haitien
Teléphone: 001 - 305 -754-344-3740

Patcheko..., February 2 2011, 3:40 AM

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