Coups mortelscontre l'escroqueriescientifique du VIH/SIDA

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La Madeleine (France), le18 décembre 2010

Bonjour,

What is wrong with you?

Cette phase que je traduis en français par ;«Quel est votre problème ?», je l'ai entendue à plusieurs reprises au cours des quelque vingt années que j'ai passées à Miami à sauver des réfugiés haïtiens .en particulier, accusés de porter le rétrovirus fictif de la pandémie imaginaire du VIH/SIDA.

Oui, j'ai des problèmes, en plus de mes problèmes de vision qui, heureusement se, résorbent progressivement après les deux opérations aux yeux que j'ai eues à l'Hôpital Bascon Palmer de South Miami.

Dans le contexte de Miami.

Et dans le cadre d'une réunion préparatoire (ce que j'ai su beaucoup plus tard)préparatoire au kidnapping de l'ancien président Jean-Bertrand Aristide, cette phrase venant de la bouche de notre Révolutionnaire-Chanteur-National Manno Charlemagnes'adressant à moi signifiait: «Quelle type de folie avez-vous?

Mais voici quelques faits qui montrent que je ne suis pas fou.

1) Mes réactions devant les accusations publiques de Manno Carlemagne contre l'ancien président Aristide

Manno Charlemagne voulait faire croire que j'étais un fou. Ce n'était pas sa faute, car il était «nan tafia», «nan Barbancourt».

Puis, il se mit àm'insulter publiquement.

Il déclara que je suis un«agent de la CIA» venu espionner sa «réunion».En entendant cela, je sortis mon passeport haïtien.

Le montrai à toute l'assistance, en demandant à Manno de faire de même. Il devint alors vert de colère et cria: Foutt mysye deyò!».

En entendant cela, je me mis en position de combat et invitai Manno à essayer lui-même de me chasser de la réunion.

Manno parla alors d'appeler la police: « Rele police, pou vin foutt misye deyò!»
J'attendis longtemps, mais la police n'arriva pas, Je laissai calmement la salle de réunion.

Sur le chemin du retour, l'ami qui me ramenait chez moi me fit savoir que Manno Charlemagne était furieux parce que, en montrant mon passeport haïtien, je voulais réveiller un rumeur qui voulait que, tout en étant maire de Port-au-Prince, Manno Carlemagne, était de nationalité étrangère et qu'il circulait avec un passeport canadien.

En fait, je ne savais rien de cette affaire de passeport canadien qui, de toute façon, ne m'intéressait pas. Quelques jours plus tard, un autre de mes amis de Miami me fit savoir que Manno Charlemagne lui avait demandé discrètement d'essayer de savoir si j'avais enregistré les accusations graves que, au début de la réunion, Manno Charlemagne avait, soi-même, portées contre l'ancien président Jean Bertrand Aristide.

Manno Charlemagne s'était enfin aperçu qu'il pouvait être attaqué en justice pour diffamation.

Je fis savoir à Manno que je ne suis pas journaliste et que ma profession ne consiste pas en l'enregistrement d'informations pour les vendre.

On me rapporta que Manno
n Charlemagne parut soulagé quand il entendit cette réponse venant de moi .Et de Manno Charlemagne je n'entendis plus parler.

Jusqu'au jour où, à mon émission de radio du mercredi après-midi sur le SIDAsur ladio WLQY 1320 AM à Miami, le téléphone sonna et quelqu'un demanda à me parler.

Je pris le téléphone.

C'était la voix de Manno Carlemagne.

Manno me demanda si je crois encore que le virus du SIDA n'existe pas. Je lui répondit:Parfaitement! Je lui demandai s'il avait reçu un diagnostic de «positivité».

Il me répondit par la négative.

Je lui offris un rendez-vous d'urgence.

Il me répondit que ce n'était pas nécessaire.

Mais au son de sa voix, je compris que cela n'allait pas très bien. J'insistai pour le voir, mais il persista dans son affirmation selon laquelle tout allait très bien. Et ce fut ainsi que Manno Charlemagne disparut de mon horizon miamien.

De cette rencontre Manno Charlemagne a appris que, même si les Haïtiens sont devenus ce qu'ils sont aujourd'hui, le risque existe de se faire «remonter les bretelles» (de se faire réprimander) par des Haïtiens, si l'on s'amuse à porter des accusations graves et infondées contre d'autres individus et groupes humains en leur absence.

Ce sens de la justice est à l'opposé même de la folie.

2)Ma prédiction de l'envoi de 4x7000 soldats du continent américain en Haïti pour «remettre au pas» les FADH ou l'armée des putchistes haïtiens

En 1992, J'avais prédit, dans Haiti-en-Marche que 4 fois 7000 soldats du continent américain allaient être envoyés en Haïti pour apprendre aux FADH de la petite armée des putschistes haïtiens à «marcher au pas»(Paille !, Zèb !) de la Constitution haïtienne.

J'avais pensé que ce message aurait été compris par un de mes amis, Jean-Claude Duperval, qui était devenu Commandant-en-chef des FADH, que certains avaient surnommées, par dérision «Faiblesses Armées d'Haïti».

Je voulais lui suggérer d'éviter à tout prix une confrontation armée avec le contingent américain qui allait arriver.

Ce n'aurait pas été sage de s'engager dans un «Vertières» avec l'armée pan-méricaine.

Le message se terminait par ces quelques mots en créole comique bien articulés par la voix à la fois grave et aigue d'un soldat haïtien mal payé et donc mal nourri disant avec conviction: « Avant le plemier coup de canonses
Pito nou plan rloute Tiburonsse».

Il valait mieux prendre la fuite avant le début des hostilités, Ça, c'était de la sagesse et non pas de la folie.

Je ne sais pas si le général Duperval avait perçu ces messages.

En 2005, la situation était très mauvaise en Haïti. Un autre gonaïvien, Monsieur Gérard Latortue que j'avais rencontré à plusieurs reprises à Miami.

A Lubin's Beauty Supply obligeait, disait-on, «les Haïtiens à monter le ciel par dos.» On disait aussi que Monsieur Gérard Lartortue marchait «avec sa tête sous son bras droit.», Tout cela, pour dire que la situation était très mauvaise pour tout le monde, »makaron» comme les Haïtien le disent parfois.

Ce fut dans ces circonstances qu'en juillet 2005, un autre de mes amis des Gonaïves, Maître Rigaud Saint-Pierre, avocat à Port-au-Prince, débarqua à Miami.

Il faisait une enquête dans la Diaspora haïtienne pour savoir quel était, du point de vue de la Diaspora, l'homme politique haïtien le plus capable de sortir le pays haïtien dans l'impasse dans laquelle nous nous trouvions.

Je n'eus pas l'occasion de rencontrer l'avocat Rigaud Saint-Pierre en face à face. Mais nous eûmes plusieurs conversations téléphoniques.

Dès notre première conversation, je donnai un nom à l'avocat Saint-Pierre le nom d'un certain René Préval, ancien président de la République d'Haïti qui, après son mandat s'était retiré à Marmelade oú, comme agronome il montrait aux paysans comment cultiver le bambou et s'en servir après pour faire des meubles.

C'était une idée magnifique qui, avec le temps.

Devait contribuer au reboisement d'Haïti, parce que les haïtiens couperaient de moins en moins d'arbres pour faire des meubles.

Un choix raisonné René Préval candidat à la Présidence en 2006,
pour sortir Haïti et les Haïtiens de l'impase politique

Je prédis que l'homme politique le plus capable de sortir le peuple haïtien de l'ornière était un certain René Gracia Préval, ancien président de la République d'Haïti. Me Rigaud Saint-Pierre était d'accord avec moi, mais il pensait que l'ancien président René Préval n'accepterait pas de revenir dans le monde des politiciens pour la plupart corrompus de Port-au-Prince.

Je suggérai à l'avocat Rigaud Saint-Pierre de prendre avec lui un groupe de personnes reconnues comme compétentes et honnêtes et d'aller avec ce groupe à Marmelade demander à Monsieur René Préval d'accepter de se porter candidat à la présidence d'Haïti pour les élections de 2006. Et je prédis à l'avocat Saint-Pierre que si le nommé René Gracia Préval acceptait de se porter candidat à la présidence en 2006, René Préval battrait au premier tour avec une large majorité n'importe quel autre politicien haïtien qui aurait l'audace de se porter aussi candidat à la présidence à ces élections.

Et Me Saint-Pierre et moi, nous terminâmes les conversations en créole par cette phrase:«Si Préval aksèpte, Ayiti ap repran soufle !» La suite a démontré et démontre encore que j'avais raison.

Je suis donc encore loin d'être fou.

Mon autre grand problème
Depuis le 9mars 1983, peu après le départ du Pape Jean-Paul Paul II qui s'était arrêté àPort-au-Prince, un politicien français (apparemment Jacques Chirac de concert avec le Center for Disease Control CDC d'Atlanta lançait la nouvelle de l'arrivée d'une nouvelle maladie incurable et mortelle appelée «Immuno-Déficience Acquise» qui affecterait d'abord les Haïtiens, puis «toute personne qui avait voyagé en Haïti au cours des cinq dernières années».Cette nouvelle maladie, l'Immuno-Déficience Acquise ou SIDA se trans mettrait par tous les sécrétions biologiques: sang, sueur, sperme, salive, lait maternel.

Jacques Chirac n'a jamais été un chercheur scientifique, ni un professionnel de la santé.

Il n'est pas un brancardier, ni un infirmier, ni un médecin, Il n'a fait que passer vingt-sept mois à l'École Nationale d'Administration (ENA).

Pourtant, quand il a sonné le tocsin pour annoncer la découverte sur les Haïtiens d'abord de l'Immuno Déficience Acquise, j'ai tout de suite vu qu'il s'agissait là d'une escroquerie scientifique, d'une supercherie pour nuire aux Haïtiens d'abord, puis aux autres Noirs de la Terre, et enfin aux « Non-Blancs.Ici, en France, personne n'a pensé à demander à Jacques Chirac comment ila découvert cette affaire d'Immuno-Déficience Acquise.

Il était clair aussi que l'escroquerie scientifique de l'Immuno-Déficience Acquise avait pour but d'anéantir le tourisme haïtien.

Le tourisme haïtien assassiné par la supercherie du VIH/SIDA

La plupart des Haïtiens (médecins compris) ne s'aperçoivent pas que c'est cette supercherie de rétrovirus VIH/SIDA qui a détruit le tourisme haïtien.

Les dirigeants haïtiens persistent à ne vouloir rien faire pour défendre Haïti et les Haïtiens contre les auteurs de l'escroquerie scientifique du rétrovirus fictif
VIH/SIDA.

Du temps Président Aristide.

J. avais rassemblé tous les éléments nécessaires pour permettre à l'Etat haïtien d'intenter et surtout de gagner un procès pour diffamation (libel) contre ceux qui avaient accusé Haïti et les Haïtiens d'avoir transmis au monde entier le rétrovirus fictif VIH/SIDA.

J'avais contacté des avocats et des amis anglais, allemands américains, canadiens et sud-africains qui avaient donné leurs avis sur la question.

Mais, en ce qui concernait l'accusation de SIDA contre les Haïtiens, Président Aristide était déjà tombé dans deux pièges au moins :

1) Il avait déjà utilisé le terme «SIDA» dans une communication politique, ce qui laissait entendre qu'il croyait en l'existence de ce rétrovirus fictif et de cette pandémie imaginaire :
2) Le Président Aristide avait accepté comme aide des produits toxiques que le médecin américain Paul Farmer avait pris dans des «poubelles» à Boston pour les envoyer aux Haïtiens.

Farmer, qui n'avait pas compris que le VIH/SIDA est une escroquerie scientifique, pensait peut-être vraiment que ces «antirétroviraux» et autres AZT, (le poison mortel selon le Congrès américain) allaient sauver les Haïtiens accusés de VIH/SIDA.

Je peux aussi ajouter que le Président Aristide avait nommé comme son «chef de cabinet» Jean-Claude Desgranges sans savoir que DesGranges le détestait très cordialement.

Desgranges allait profiter de l'affaire des étudiants pour administrer à Aristide un coup dans le dos une déclaration à des reporters du journal français Le Monde.

Á Ce moment-là, il se disait à Miami que Jean-Claude Desgranges était candidat à la présidence de la République d'Haïti.

Enfin, pour arrêter de «desgranger»: J'ai appris que Jean-Claude Desgranges a été nommé «Doyen de la Faculté de Médecine de Port-au-Prince».

Ici encore, le choix de Desgranges est une catastrophe.

Je n'ai pas le temps et la place ici pour bien expliquer pourquoi.

J'écrirai seulement que :
1) Desgranges est un véritable « ayatollah» de l'idéologie (raciste) du rétrovirus fictif et de la pandémie imaginaire du VIH/SIDA.

En ce sens, Jean-Claude Desgranges doit être considéré comme un grand «VIH/SIDA-Exterminateurs des réfugiés haïtiens de Miami.

Maintenant, il va, en plus, apprendre aux jeunes étudiants en Médecine en Haïti comment exterminer leurs propres frères tout «faisant le plus d'argent possible » sur ces derniers.

Les Haïtiens sont dans un «double cas» avec Jean-Claude Desgranges;
2) Desgranges a des idées bizarres en Physiologie, En voici un exemple :
Un jour, à Miami, j'ai entendu Jean-Claude Desgranges dire sur radioWLQY 1320 AM: « L'organe le plus important du corps humain, c'est le c�"ur. Si le c�"ur s'arrête, tout est fini !»
Cette déclaration de des Desgranges ne reflète pas la réalité physiologique réelle, parce que l'organe le plus important du corps humain est le cerveau.

Les dirigeants haïtiens n'ayant rien fait pour défendre Haïti et les Haïtiens contre le rétrovirus fictif et la pandémie imaginaire du VIH/SIDA, ceux qui veulent nous exterminer nous envoient une vraie épidémie de choléra. Essayons, cette fois-ci, de nous défendre, pour éviter, plus tard, quelque chose de plus grave comme, par exemple « quelques milliers de bombes au napalm.» (Phrase de «Unsuisse» parue dans le journal haïtien le Nouvelliste).

18 dec2010.-Disque A

Merci de me faire savoir, à votre façon, que Sa Majesté Gwo Lobo Le Second, ne pourra pas arriver à la présidence d'Haïti en s'accrochant à Madame Mirlande Hyppolite, la «Ti-Tèt-la (version Loupe Kloure)

Á propos de Madame Mirlande Hyppolite, j'ai entendu dire à Miami qu'elle avait été élue Sénatrice aux élections de 2006, pendant que son mari, Leslie Manigat recevait de vos «mains» une inoubliable raclée électorale.

On dit que, pour cette raison, Professeur Manigatex avait « ordonné» â son épouse Mirlande de laisser tomber son poste de Sénatrice.

Si c'est vrai, Madame Mirlande Hyppolite aurait dû recevoir une «punition», pour avoir trahi la confiance des Haïtiens qui l'avaient élue.
Il me semble que la Constitution haïtienne devrait prévoir clairement une sanction pour ceux qui, après succès à une élection.

Adopteraient ce genre comportement post- électoral.

Encore quelques mots: Des ambassadeurs étrangers en Haïti ont pris l'habitude de menacer les dirigeants haïtiens de « cancel Visa».

Je pense que ce type de chantage doit cesser.

Tout ambassadeur qui utiliserait cette arme d'«annulation de visa» devrait faire un petit tour dans leurs pays d'origine pour aller se recharger en «bonnes manières diplomatiques».

J'arrête ici pour le moment.

Je vous souhaite, à vous et à votre famille une bonne fête de Noël !

Bonne fin de mandat.

Il ne saurait y avoir d'exil pour quelqu'un comme vous.

Si le président haïtien qui va vous remplacer souhaite entreprendre un procès contre ceux qui ont accusé Haïti et les Haïtien d'avoir engendré le rétrovirus de l'Immuno-Déficience Acquise (Et c'est le moment idéal pour cela, si l'on a en mains la déclaration faite par Luc-Antoine Montagnier, Directeur de l'Institut Pasteur de Paris le 8 janvier 2010), je peux mettre à sa disposition mon expérience dans la lutte contre l'escroquerie scientifique du VIH/SIDA, ainsi que mes contacts dans le vaste réseau international de ceux qui, comme moi, pensent qu'il faut, un fois pour toutes, en finir avec cette escroquerie scientifique du VIH/SIDA qui, dans le monde entier, constitue une honte pour la Médecine, la vraie Médecine, celle du savant Louis Pasteur et de Alexander Fleming(pénicilline), en même temps qu'un fléau mortel pour des personnes en bonne santé.

Au revoir, Bientôt.
Psychologue Henri-Claude Saint-Fleur

Mon adresse Email: hcsaintfleur at sfr.fr

P.S. Le combat contre l'escroquerie scientifique du VIH/SIDA est déjà bien engagé sur le plan international.

sur le plan international.

Du côté du Canada, le Canadien anglophone David Crowe ferraille.

On peut voir quelques-uns de ses coups sur le site Internet House of Numbers.com

Houseofnumbers.com

Henri-claude Saint-fleur, December 18 2010, 10:38 AM

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