haiti has been given a poison pill

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FOR IMMEDATE RELEASE
May 10, 2007

Contact: Jacob Francois 312-735-6071
Eugenia Charles 301-537-8162

HAITI HAS BEEN GIVEN A POISON PILL

HAITIAN REFUGEES TO BE SWAPPED AS COMMODITIES
BETWEEN THE UNITED STATES AND AUSTRALIA

HPP EXHORTS PRESIDENT PREVAL TO:

WRITE TO PRESIDENT BUSH IN SUPPORT OF TEMPORARY PROTECTED STATUS FOR HAITIANS (TPS) H.R 522, AS WELL AS H.R 454, TO AMEND THE HAITIAN REFUGEE IMMIGRATION FAIRNESS ACT (HRIFA) OF 1998.

DEMAND COMPLETE ELIMINATION AND FORGIVENESS OF HAITI'S EXTERNAL DEBT ESTIMATED AT $1,097,800,000.00 H.RES 241.

TAKE CONTROL OF MINUSTHA AS PRESCRIBED BY ARTICLE 143 OF THE HAITIAN CONSTITUTION.

Washington, D.C. President Préval was received in the Oval Office on May 8, 2007 by President Bush in a meeting filled with innuendos and nothing concrete capable of helping the Haitian people in their plight for security, an up-surge in economic activity, and a push toward self-sufficiency.

President Bush supports MINUSTHA's operations in Haiti despite the fact that the information collected indicates MINUSTHA is failing tremendously in Haiti in its approach to solving the security issues, as a result of the destabilization of the constitutional government in 2004, and their presence.

During this meeting, President Bush stated that inflation is down in Haiti.

"This statement is totally wrong because an increase in purported tax collections has no bearing on inflation, and more to do with government spending and deficit," said Jacob Francois a co-founder of HPP.

Interest rates remain high in Haiti, lack of inflow of capital, lack of production and sufficient export, cost of food and basic necessities for the average Haitians to survive on a daily basis remain rampant.

The exchange rate has not improved ($1= 37.42 Gourdes) as published by the Republic Bank of Haiti as of May 9, 2007. The only noticeable change in inflation has to do with price of energy, which is a direct result of the accord signed between the Pr?val/Alexis government and the Chavez government.

The immigration bill President Bush promises to sign this year is an immigration bill based on the US government's global strategies, and has nothing to do with the plight of Haitian people at sea or living in the United States illegally.

The bills in congress with a direct bearing on Haiti and the Haitian people are, H.R 522 to allow (TPS) for Haitians, H.R. 454 to amend the HRIFA Act of 1998 and H.RES 241 for the elimination of Haiti's external debts which, President Bush failed to mention or promised to do anything about, and President Préval failed to discuss specifically.

"Immigrants from Nicaragua, Honduras, and El Salvador were granted TPS in response to the devastations of Hurricane Mitch in 1998, and the US continues to do so to this day. The continuation of unfair and discriminatory immigration policies toward Haitians has not allowed Haiti to obtain the sense of normalcy that its Central American counterparts are being given the opportunity to achieve, stipulates Rep. Hasting in a recent letter to President Bush. Yet Haitians who have also been victims of numerous hurricanes; particularly Hurricane Jeanne in 2004, along with constant political instability have never benefited from such opportunity, said Eugenia Charles a co-founder of HPP. The Bush Administration prefers to trade the Haitian refugees with Australia for Asian refugees of lighter shade rather than granting TPS to Haitians.

President Préval visit to the United States has accomplished nothing in the way of providing solutions to the problems Haitians face in Haiti and in the United States.

HPP believes that President Préval and his government have a moral obligation to state clear objectives when meeting with American officials.

So far nothing was accomplished by the meeting.

No money for agriculture, no money for communications upgrade, no money for roads construction.

These projects are necessary and need to be completed in order for the Diaspora and foreign investments to flow into Haiti.

Until some strong and effective commitments can be made on the part of the American government, nothing worth mentioning will come from the meeting of President Préval and President Bush. As usual, Haiti was given a poison pill as in February of 2004

Contact Haitian Priorities Project at
(954) 914-5593, (301) 537-8162
or e-mail: info [at] hpp4haiti.com for more information.

PUBLICATION IMMEDIATE
10 MAI 2007

Contactez:
Jacob François 312-735-6071
Eugenia Charles 301-537-8162

HAITI A RECU UNE PILULE EMPOISONNEE
LES REFUGIES HAITIENS UTILISES COMME PRODUITS D'ECHANGES
ENTRE LES ETATS-UNIS ET L'AUSTRALIE

LA PPH SUGGERE AU PRESIDENT PREVAL DE:

REDIGER UNE LETTRE AU PRÉSIDENT BUSH POUR RECLAMER LE STATUT DE PROTECTION PROVISOIRE POUR LES REFUGIES HAÏTIENS ILLEGAUX (VOIR LES PROJETS DE LOI: TPS H.R 522) ETAPPLIQUER LA LOI H.R 454, POUR AMANDER L'ACTE D'EQUITABILITÉ DE L'IMMIGRATION POUR LES RÉFUGIÉS HAÏTIENS (HRIFA) DE 1998.

DEMANDER L'ELIMINATION COMPLETE ET LA REMISE DE LA DETTE EXTERIEURE D'HAITI'S ESTIMEE A $1.097.800.000.00 H.RES 241.

PRENDRE LE CONTROLE DE LA MINUSTHA COMME STIPULE DANS L'ARTICLE 143 DE LA CONSTITUTION HAITIENNE.

Washington, D.C. Le Président Préval a été reçu par le Président Bush dans le Bureau Ovale de la maison blanche le 8 mai 2007. Leur entrevue fut remplie d'insinuations mais rien de concret ne fut discuter pour aider le peuple haïtien à sortir du bourbier de l'insécurité, de la hausse marquée de l'économie, et effectuer une poussée vers l'auto approvisionnement.

Le président Bush appuie les opérations de la MINUSTHA en Haïti en dépit du fait que les informations recueillies indiquent que la MINUSTHA ait énormément échoué en Haïti dans ses approches face aux problèmes d'insécurité dues à la déstabilisation du gouvernement constitutionnel de 2004 et par la présence des forces étrangères. Lors de cette rencontre, le président Bush affirma que le taux d'inflation a baissé en Haïti. Cette déclaration est totalement fausse due au fait qu'une prétendue augmentation de perception d'impôt ne peut en aucun cas produire un effet positif sur l'inflation, elle a plutôt un rapport aux dépenses et aux déficits budgétaires, affirme Jacob François, co-fondateur de la PPH.

Le taux d'intérêt en Haïti reste encore très élevé, à cause d'un manque d'apport de capital, d'une rareté au niveau de la production, d'une exportation insuffisante, du coût de la nourriture et des produits nécessiteux qui ne cesse d'augmenter.

De plus, le taux d'échange ne s'est pas amélioré, selon un rapport de la Banque de la République d'Haiti publié le 9 mai 2007 ($1=37.42 gourdes).

Le seul changement évident dans le phénomène de l'inflation est la baisse du prix du carburant laquelle résulte de l'accord signé entre le gouvernement Préval/Alexis et le gouvernement Chavez.

Le projet de loi sur l'immigration promis par le Président Bush qui doit être signée cette année est une loi basée sur les stratégies universelles du gouvernement américain et n'a absolument rien à voir avec le problème des réfugiés haïtiens débarquant aux États-unis sur des voiliers et les illégaux se trouvant déjà sur le territoire américain qui se voient expatrier aussitôt capturer.

Les propositions de loi devant être présentés devant le parlement américain ayant un rapport direct avec Haïti et son peuple sont la loi H.R 522 qui approuve la loi TPS et la loi H.R. 454 qui amende les lois HRIFA de 1998 et H.RES 241 lesquelles le président Bush a sciemment négligé de mentionner et que le président Préval a aussi omis de discuter.

" Les immigrants nicaraguayens, honduriens et salvadoriens bénéficient de la loi TPS depuis les dévastations dues au cyclone Mitch en 1998 et des tremblements de terre de 2001 et ce jusqu'à nos jours.

"La continuité des politiques injustes et discriminatoires d'immigration envers les haïtiens n'a pas permis à Haïti d'obtenir le sens de normalité que ses contreparties de l'Amérique centrale ont eu la chance d'obtenir " ; stipula le député américain Hastings dans une récente correspondance adressée au président Bush. Pourtant, les haïtiens bien que victimes de nombreux cyclones, particulièrement " Jeanne " en 2004 continuent à être expatriés en Haïti, et ce malgré l'existence d'une instabilité permanente dans leur pays; ils n'ont jusqu'ici jamais bénéficié de l'application de ces lois, affirme Eugenia Charles, co-fondatrice de la PPH. L'administration Bush préfère échanger avec l'Australie les réfugiés haïtiens contre des réfugiés asiatiques, moins foncés de peau que les haïtiens.

La visite du président Préval aux États-unis n'a rien accompli de positif et n'a certainement pas apporté de solutions aux problèmes auxquels se confrontent les haïtiens aux États-unis et en Haïti. La PPH croit que le président Préval et son gouvernement a une obligation morale d'énoncer très clairement ses objectifs dans ses rencontres avec les officiels américains.

Jusqu'à présent, il ne découle rien de positif du rencontre Bush/Préval. Pas de financement pour l'agriculture, pour l'amélioration du système de communication, ou pour la construction des routes.

Ces projets sont essentiels et doivent être réalisés pour encourager la venue des investisseurs haïtiens de la diaspora et des étrangers en Haïti. Tant que des engagements forts et efficaces ne soient pris du coté du gouvernement américain, rien de tangible ne vaut la peine d'être mentionné comme découlant de la rencontre des présidents Bush et Préval. Comme d'habitude, Haïti a reçu une pilule empoisonnée comme ce fut le cas en février 2004

Pour plus d'informations contactez Projet Prioritaire Haïtien aux:
(954) 914-5593, (301) 537-8162
or envoyez-nous un courriel à: info [at] hpp4haiti.com

16 avril, 2007

Contactez:

Jacob François (954) 914-5593
Eugenia Charles (301) 537-8162

LES TROUPES DE l'ONU DOIVENT ÊTRE REMPLACÉES PAR DES POLICIERS
PARLANT CREOLE ET FRANÇAIS

LA COALITION EXHORTE LA MINUSTAH D'ARRETER LE CARNAGE DES HAITIENS INNOCENTS

EXHORTE LE GOUVERNEMENT HAÏTIEN A PRENDRE LA COMMANDE DU PAYS

Sunrise, Floride.

Depuis le 29 février 2004, après le kidnapping de Jean-Bertrand Aristide, les
haïtiens appauvris ont été sous la menace constante de la mort des mains de la MINUSTAH.

Aucours des trois dernières années, les États-unis, la France, le Canada, les Nations Unies et le
Brésil ont échoué dans leurs tentatives d'améliorer la vie des citoyens moyens en Haïti. Leur
mauvaise gestion et leur politique défectueuse infligent plus de mal à la population haïtienne et
aggravent une situation déjà mauvaise.

Les haïtiens dans les voisinages sous privilégiés de Cité
Soleil vivent dans une crainte perpétuelle, parce qu'ils sont pourchassés par la MINUSTAH à
cause de leurs affiliations politiques.

Projet Prioritaire Haïtien (PPH), une coalition qui vise à représenter et à créer un agenda mieux
adapté au problème haïtien est outragé des actions de la MINUSTAH- Les haïtiens des quartiers
à faible revenu ne peuvent pas dormir la nuit - ils sont fréquemment réveillés sous la menace de
pistolet tandis que la MINUSTAH effectue des fouilles d'armes illégales non existantes sans
mandat de perquisition.

Des centaines de civils innocents ont perdu la vie pendant ces opérations
mortelles.

"L'ONU a 6.709 troupes opérant en Haïti avec une formation linguistique très limitée, et la
barrière linguistique ne peut être que préjudiciable aux haïtiens.

Il est temps pour le Conseil de
Sécurité de l'ONU de remplacer les troupes de l'ONU par 6.709 officiers de police capables de
communiquer en créole et français, " a indiqué le co-fondateur de Projet Prioritaire Haïtien Jacob
François. Nous exigeons qu'une indemnisation soit allouée aux victimes des opérations de la
MINUSTHA.

Nous exhortons le gouvernement haïtien et les Nations Unies à établir des fonds à
long terme afin de fournir des soins médicaux et psychologiques aux victimes de la MINUSTAH
et à leurs familles.

En outre, nous demandons que les troupes de l'ONU soient tenues
responsables de leurs crimes et les malfaiteurs doivent être punis conformément aux lois
haïtiennes.

Haïti a maintenant un gouvernement démocratiquement élu pour gérer ses affaires, par
conséquent, il n'a plus besoin d'une force redoutable de « maintien de la paix ».

L'article 143 de
la constitution haïtienne dote le président de la république d'un tel mandat et il lui revient de
diriger l'armée en Haïti. Nous demandons donc que le gouvernement agisse promptement et
prenne la tête des troupes opérant en Haïti.

Haïti doit focaliser ses maigres ressources à mettre sur pied des établissements démocratiques,
des infrastructures fondamentales, et des services sociaux dont la population a désespérément
besoin.

La présence de la MINUSTAH en Haïti prive le gouvernement haïtien des fonds
nécessaires pour satisfaire ces demandes.

" Si la MINUSTAH reste en Haïti, ce doit être une
mission civile pour aider le gouvernement haïtien dans la construction des routes, la prévention
des catastrophes, l'augmentation de la production d'énergie, les communications, la technologie
gouvernementale et dans le domaine de la prévention et de la santé," a indiqué la co-fondatrice de
Projet Prioritaire Haïtien Eugenia Charles.

Si ces infimes changements ne s'opèrent pas, la MINUSTHA devra quitter Haïti en octobre
2007.

Le budget annuel de $500 millions alloué à la MINUSTHA devra être réapproprié à des
projets fondamentaux pour Haïti. Une fois pour toutes, Haïti peut avoir les fonds nécessaires à
sprinter vers le 21ème siècle

Projet Prioritaire Haïtien
Boite Postale 33724
Washington, DC 20033-3724
Courriel: info [at] hpp4haiti.com
www.hpp4haiti.com

Jacob Francois, May 10 2007, 8:06 PM

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