Master in action while House-Slave is watching!!!!

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I invite you all to read this article and notice the missing part of the equation.

Have you noticed Preval's government participation in all of this is missing?

Not one word about Preval role and participation is mentioned nowhere in the entire article.

US takes the center stage in these times of difficulties because these are the kind of situations that makes US looks good. US is the saint savior there is no reason for this poor illeterate nigger country to progress because by doing so, US will not play such important role of image to the role.

The house-slave Preval doesn't really need to do much for Haiti because the master is there to rescue us and feed us everytime mother nature gets angry at us. He, Preval, is very happy sitting back and watch his master in action.

I took this article from WWW.SAKAPFET.COM.

Les hélicoptères US, bénédiction pour les villes d'Haïti coupées du monde
Author: AFP
posted on: Fri, 12 Sep 2008

A BORD DE L'USS KEARSARGE (Haïti), 12 sept 2008 (AFP) -

Armé d'une flotte de huit hélicoptères et de trois bateaux, le navire américain USS Kearsarge, au large d'Haïti, fait passer l'effort humanitaire à la vitesse supérieure alors que quatre ouragans ont ravagé routes et ponts menant aux régions sinistrées.

"Notre mission était déjà centrée sur la fourniture de soutien médical et logistique, nous étions donc déjà bien équipés" quand l'US Navy a ordonné au porte-hélicoptères de quitter la Colombie pour se déployer lundi au large de Port-au-Prince, explique à l'AFP le capitaine de l'USS Kearsarge, Walter Towns.

"Une multitude de gens n'ont rien à manger et à boire depuis des jours et les infrastructures ne permettent pas d'atteindre de nombreux endroits reculés par le route.

Aujourd'hui, nous sommes dans tout le pays, des Gonaïves (la ville la plus touchée par les ouragans, au nord) aux Cayes, dans le sud", fait-il valoir.

Un renfort à la flotte d'hélicoptères de l'ONU d'autant plus salutaire que les tempêtes ont anéanti les deux seuls ponts reliant Port-au-Prince au nord du pays, rendant impossible l'acheminement d'aide humanitaire par la route.

Sur le pont de l'USS Kearsarge, six hélicoptères de transport CH-53 et deux MH-60 décollent et atterrissent dans un balai incessant, à raison de douze à quatorze vols par jour. Direction l'aéroport de la capitale haïtienne, où s'effectue le chargement des vivres, avant l'envol vers l'une des villes sinistrées.

"L'Agence américaine pour le développement international (USAID) nous dit où nous devons transporter l'aide humanitaire en fonction des besoins et sur place, le Programme alimentaire mondial (PAM) et les ONG se chargent de la distribuer", explique le commandant de l'armée de terre, Jermai Sabbatt, qui supervise les mouvements à Port-au-Prince.

Jeudi matin, à bord d'un CH-53, deux pilotes, trois soldats et cinq Marines s'apprêtent à décoller vers Port-de-Paix, dans le nord.

"Nous ne savons pas seulement nous battre, nous savons aussi aider", lance fièrement le caporal Edwardo Ruiz, 22 ans, natif de New York.

La jeune recrue ne connaît ni l'Irak ni l'Afghanistan, mais a déjà participé à une mission d'assistance au Bangladesh, après le passage à la mi-novembre d'un cyclone qui avait fait près de 3.300 morts.

Jusqu'au plafond de l'appareil sont empilés des cartons estampillés USA contenant de l'huile végétale et des sacs de farine ornés d'un logo "don de la France".

La mer turquoise prend une couleur de boue à l'approche de la ville côtière, stigmate des ouragans qui ont ravagé le pays ces dernières semaines et fait au moins 326 morts et sinistré 170.000 familles, selon les autorités haïtiennes.

Après moins d'un heure de vol, le pilote se pose sur une plateforme rudimentaire.

Très vite, les militaires américains sont à terre et déchargent les vivres, accueillis par une vingtaine de Haïtiens en bleu de travail employés par l'ONU, qui forment rapidement une chaîne humaine, le dos courbé pour lutter contre le vent puissant généré par l'hélicoptère.

Le Français Eric Paul, brigadier-chef de la Police aux frontières (PAF), fait passer les sacs. Il formait la police haïtienne quand le désastre a frappé.

"Depuis l'effondrement du pont de Mirebalais, on est en autarcie ici, on est coupés du monde", affirme-t-il.

En trois jours, quelque 270.000 tonnes d'aide humanitaire ont été livrées par les Américains, qui n'ont pas de date de départ.

"La mission pourrait s'étendre à de l'aide médicale", indique le capitaine de l'USS Kearsarge.

A son bord, 40 médecins assistés d'un personnel médical de 120 personnes pourraient être mis à contribution pour éviter une nouvelle catastrophe, sanitaire cette fois.

dab/chv/fka

Article#: 80033847415078912

Tiba, September 13 2008, 7:42 AM

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